•       Je vais bien, ne t'en fais pas.

    Un film que m'a fait découvrir Monsieur Hugo, merci et clin d'œil à toi.

                         

    Lili à 19ans, et alors qu'elle rentre chez elle après des vacances, elle apprend que son frère jumeau est parti de la maison. Au début juste un peu inquiète, son inquiétude et son état physique ne font qu'empirer. Elle reçoit une lettre, une lettre de son frère, alors commence une course avec la silhouette de son frère Loïc.
    Un film de Philippe Lioret
    Musique : Aaron

                

     

    Voici... voici un film qui m'a touché.
    Rien de fantastique, rien d'incroyable, juste une histoire humaine.
    Vous savez, ces histoires qui font notre vie, ces histoires qui manquent à nous briser à chaque fois, ces épreuves que l'on ne comprend pas, que l'on regarde, paralysé, en ce disant que ce n'est pas possible. Le temps semble s'arrêter, notre vie ne semble plus nous appartenir, c'est un cauchemar, nous ne sommes plus nous même. Il y a ce quelque chose qui nous bouffe le ventre.
    C'est pas possible...
    Ho ! oui, c'est vrai l'histoire est peu commune en soit, ce n'est pas le genre d'histoire que l'on entend tous les jours, mais c'est une histoire humaine. L'être humain, malgré un instinct de survit incroyablement fort, parfois se détruit. Il tombe dans un gouffre...

    Je n'ai jamais eut de frère ni de sœur... enfin... je n'en ai pas souvenir.
    En réalité, cela ne m'a pas vraiment manqué, mais lorsque je regarde certaines personnes que je connais bien et qui me parle de leur relation fraternelle, je les trouve toujours très particulières. Intime. Une intimité entre deux êtres qui ont partagé une grande partie de leur vie, de leurs souvenirs, de toutes ces petites choses qui font que nous sommes-nous. Rien ne remplace un frère ou une sœur...

    Je n'aurais jamais la chance de connaître cette relation qui m'échappe et que j'ai du mal à exprimer, je ne peux qu'observer, pensive.

    Envi de vous présenter pleins de films !


    2 commentaires
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                    Amano

     

    Il presse son corps fragile contre lui, contour chaud qui l'encercle et le retient.
    Petit chat au sommeil délicat, il n'ose s'égarer dans un mouvement.
    Et pour la bercer il frôle ses cheveux dorés sur un fond de musique murmurée.
    Le visage de l'endormie est éclairé d'un sourire charmé, miroir des plus tendres délices.
    Cette tendresse innocente offerte, cette confiance aveugle, le blesse.
    De peur que cette pureté ne le brûle, il ferme les yeux, proie au plus grand désespoir.
    Si la candeur est belle, la tromperie n'en est que plus laide.
    Cette fable qu'il lui a inventer n'est pas d'un fil doré mais n'en a que l'apparence.
    La sincérité se lit dans les larmes versées.
    Le miroir de chaque matin lui est cruel, et ne renvoi l'image que de celui dont il ne peut plus se défaire.
    Tendresse est là, mais Amour n'apparaît pas.
    Et chaque jour, le mensonge se file pour créer un monde imaginaire.
    La vérité est déjà bien belle, mais trop d'ornement l'a rendu infidèle.
    Alors qu'elle est aveugle, il ferme les yeux pour se plaire.
    Ainsi les amoureux le sont, et chacun s'émerveille de leurs plus beaux habits.
    Et alors que je les regarde attendrit et apeurait, je réfléchis au sens du mot " Bonheur ".

     

     

    De moi


     


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