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                  HALLOWEEN 



    Well, that's just fine
    Say it once, say it twice
    Take a chance and roll the dice
    Ride with the moon in the dead of night




                                



     

    Ammusez-vous bien ....


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  • Elle se réveille en un mouvement, perdue.
    Un regard autour d'elle la rassure, les draps rouges l'enveloppent dans leur chaleur.
    Dehors la pluie fait rage.
    Les gouttes qui finissent leur voyage contre sa fenêtre son la cause de son arrachement à Morphée.
    Cette agression de l'extérieur qui ne peut la pénétrer la fait frissonner.
    Elle remonte ses genoux contre sa poitrine tel un chaton qui cache sa tête dans sa fourrure.
    Elle a peur, un sentiment de mal être.
    La pièce est grise, trop grise. Les couleurs se sont évanouit.
    Elle dort encore, ne sait pas, ne comprend pas.
    Quand sommes-nous ?
    Elle se sent abandonnée.
    Toujours frissonnante.
    Pourtant, elle sent un souffle chaud dans son cou.
    Elle en oubli le cri de la pluie, ferme les yeux, pousse un soupir de soulagement.
    Tout va bien. A vrai dire, ça ne pouvait aller mieux.
    Elle sourit. Les yeux fermés. Le nez dans la chaleur des deux.
    Dans un mouvement des hanches, elle se détourne de l'extérieur, ouvre les yeux et regarde le monde.
    Visage endormit. Visage à la lueur pâle mais plus chaude que tous les feux.
    Elle regarde, dévisage, embrasse du regard.
    Elle reste là, silencieuse, comme si jamais plus belle chose n'avait existé.
    Pourtant, là voilà bien loin de tout discourt, de toute éloge.
    Elle sourit et son cœur est simplement heureux.
    Ce bonheur ne se décrit pas, les paroles lui sont bien trop naïve.
    C'est un instant que l'on vit, sans y penser, le cœur serein et brillant de milles feux.
    Elle laisse glisser deux doigts, touche la porcelaine chaude et dessine ses courbes parfaites.
    Tout se fait dans un silence, accompagnée par le seul bruit de la pluie, qui est devenu une mélodie, touché par cet instant.
    La vie des amants est des plus simples.
    Ils partagent leurs histoires, leurs vies, leurs contes et leurs philosophies, mais souvent, on n'oubli que rien ne vaut la beauté d'un instant et le silence de ses mots inexistants.
    Rien n'a d'égale la douceur du dormeur ardent.


                           

     

    Texte de moi, et image de Tristan et moi (et je suis le modèle)


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  •                                      J'ai beau l'avoir regardé des centaines de fois, je ne m'en lasse jamais, comme la plupart des Disney d'ailleurs....

                Cette musique ! ces couleurs ! ce swing !
         Je suis impressionnée par la qualité du dessin, de l'imagination et de la magie.
      Je suis impressionnée par les pas de danse de Duchesse et d'Aumalé, à la fois félins et humains...

     

     

                       

     

                                    L'art de Disney m'a toujours rendu heureuse en un souffle, en quelques chants, en quelques sourires, en quelques rires.
                   Ce monsieur a beaucoup participé à ce que je suis aujourd'hui, ces dessins ont permis à l'enfant que j'étais d'apprendre et de comprendre.
                           Et à la jeune fille que je suis, de retrouver le sourire même dans les moments les plus douloureux.


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  • Bonjour Automne...



                                    
                                       Automne dans Les Quatres Saisons, de Mucha


                           Parfum exotique (Extrait)

               Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,
                       Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,
                        Je vois se dérouler des rivages heureux
                   Qu'éblouissent les feux d'un soleil monotone;

                       Une île paresseuse où la nature donne
                 Des arbres singuliers et des fruits savoureux;
              Des hommes dont le corps est mince et vigoureux,
               Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne.

                                                                                  Baudelaire



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