• La Chine

     

    (de moa, c'est trés moyen)

     

     

    Mon espoir est comme l'encre de chine,
    Que je regarde vers l'oxydent ou l'orient je ne vois que terre dévastée.
    Terrain sanglant à la beauté morbide.
    Je désire mourir comme le soldat éventré qui n'arrive plus à pleurer.
    L'air se fait de plus en plus rare,
    Alors que le sang abonde et baigne le sol pour nourrir les fleurs blanches.
    Cette douleur est un affront à la vie.
    Le bonheur n'existe plus, il ne reste que les squelettes de la guerre.

    Je voudrais te dire à quel point tu me manques, mon pays, ma patrie, mon coeur.
    Mais mon cri resterait bloquer par la grande muraille en pleurs.

     



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