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Détresse et Volupté
Je te reconnais tristement vieille douleur que je croyais pouvoir oublier.
Celle du temps passé, et du train morne de cette ancienne habitude blessée.
Je revis dans ce cris de détresse inutile et futile d'une angoisse puérile.
Comme le miroir de ce qui fut je me regarde tant changer et toujours essouffler.
Mes cauchemars me dévoilent la vérité, si j'oubliais ça me manquerait,
Et pourtant de cette envi de pleurer je suis l'esclave au point de chanter,
De revivre comme jamais... comme jamais, mais toujours avec une touche de regret:
La douceur du monde imaginaire, des nuages blancs et de la poussière de fée.
Ce monde qu'il me semble avoir quitté tant je crois l'avoir déjà vu et aimer.
Me serais je trompée ? Y a t'il seulement un sens ? Une voie ? Une volupté ?
Le silence et l'eau salée se mêlent, les sentiments et la lucidité se démêlent.
A craindre d'avancer je ne peux plus parler ni rêver, tel un papillon dans une toile d'araignée.
Et je regarde le ciel, on ne sait jamais s'il va pleuvoir, grêler, ou si le soleil va briller.
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Commentaires
2Ta mamDimanche 13 Février 2011 à 11:54Bonheur
Le passé est là que pour servir à grandir, à retenir les leçons de la vie. Parfois, une image ou un moment de bonheur permet de continuer. Regardes ma fille devant toi, évites de trop te retourner. Il faut avancer, c\'et notre force. Evidemment, l\'inconnu fait peur. Mais il faut reconstruire. Cela peut être long, dur. Mais au bout du chemin, il y a la vie avec ses moments merveileux et ses emmerdes. Aimes la vie // Ta mam qui t\'aime
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Le passé est là que pour servir à grandir, à retenir les leçons de la vie. Parfois, une image ou un moment de bonheur permet de continuer. Regardes ma fille devant toi, évites de trop te retourner. Il faut avancer, c'et notre force. Evidemment, l'inconnu fait peur. Mais il faut reconstruire. Cela peut être long, dur. Mais au bout du chemin, il y a la vie avec ses moments merveileux et ses emmerdes. Aimes la vie // Ta mam qui t'aime